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Noël comme la fin du sacrifice
 
Le signe de Noël est une étoile, une lumière dans les ténèbres, Un Cours En MiraclesNe crains pas de reconnaître que toute l’idée de sacrifice est faite uniquement par toi. Et ne cherche pas la sécurité en tentant de te protéger de là où elle n’est pas. Tes frères et ton Père  sont devenus très apeurants  pour toi. Et tu voudrais marchander avec eux pour quelques relations particulières, dans lesquelles tu penses voir quelques miettes de sécurité. Ne cherche pas plus longtemps à garder à part  tes pensées et la Pensée qui t’a été donnée. Lorsqu’elles sont mises ensemble est perçues là où elles sont, le choix à faire entre elles n’est rien de plus qu’un doux éveil, aussi simple que d’ouvrir les yeux à la lumière du jour quand tu n’as plus besoin de sommeil.

Le signe de Noël est une étoile, une lumière dans les ténèbres. Ne la vois pas à l’extérieur de toi mais brillant dans le Ciel au-dedans, et accepte-la comme le signe que le temps du Christ est venu. Il vient en n’exigeant rien. Nul sacrifice d’aucune sorte n’est exigé par Lui de qui que ce soit. En sa présence toute l’ idée de sacrifice perd toute signification. Car Il est l’Hôte de Dieu. Et tu as seulement besoin de L’inviter, Celui Qui est déjà là, en reconnaissant que son Hôte est Un et qu’aucune  pensée étrangère à Son Unité ne peut demeurer là avec Lui. Pour l’accueillir, l’amour doit être total, car la Présence de la Sainteté créée la sainteté qui l’entoure. Nulle peur ne peut toucher l’Hôte qui berce Dieu au temps du Christ, car l’Hôte est aussi saint que l’Innocence parfaite qu’Il protège, et Dont le pouvoir Le protège.

En ce Noël, donne au Saint-Esprit tout ce qui te blesse. Laisse-toi être complètement guéri  afin que tu puisses te joindre à Lui dans la guérison, et célébrons notre délivrance ensemble en délivrant chacun avec nous. Ne laisse rien derrière, car la délivrance est totale, et quand tu l’auras acceptée avec moi, tu la donneras avec moi. Toute douleur, tout sacrifice et toutes petitesses disparaîtront dans notre relation, qui est aussi innocente que notre relation avec notre Père, et aussi puissante. La douleur nous sera portée et disparaîtra en notre présence, et sans douleur il ne peut y avoir de sacrifice. Et sans sacrifice il doit y avoir l’amour.

Toi qui crois que le sacrifice est amour, tu dois apprendre que le sacrifice est et la séparation d’avec l’amour. Car le sacrifice apporte la culpabilité aussi sûrement que l’amour apporte la paix. La culpabilité est la condition du sacrifice, comme la paix et la condition pour prendre conscience de ta relation avec Dieu. Par la culpabilité tu exclus ton Père et tes frères de toi-même. Par la paix tu les invites à revenir, te rendant compte qu’ils sont là où ton invitation les enjoint d’être. Ce que tu exclus de toi-même  semble apeurant, car tu le revêts de la peur et tu essaies de le chasser, bien qu’il fasse parti de toi. Qui peut percevoir une partie de lui-même comme répugnante et vivre en paix en lui-même ? Et qui peut tenter de résoudre le « conflit » du Ciel et de l’enfer en lui en chassant le Ciel et en lui donnant les attributs de l’enfer, sans éprouver un sentiment d’incomplétude et de solitude ?

Aussi longtemps que tu perçois le corps comme ta réalité, aussi longtemps tu te perçois toi-même comme étant sol est privé de quelque chose. Et aussi longtemps tu te percevras comme une victime du sacrifice, cela justifiant que tu en sacrifies d’autres. Car qui pourrait repousser le Ciel et son Créateur sans un sentiment de sacrifice et de perte ? Et qui pourraient subir le sacrifice et la perte sans tenter de se rétablir lui-même ? Or comment pourrais-tu accomplir cela toi-même, quand la base de ces tentatives est la croyance en la réalité de la privation ? La privation engendre l’attaque, étant la croyance que l’attaque est justifiée. Et aussi longtemps que tu voudras conserver la privation, l’attaque devient le salut et le sacrifice devient l’amour.

C’est ainsi que, dans toutes tes quêtes d’amour, tu cherches et trouves le sacrifice. Or tu ne trouves pas l’amour. Il est impossible de nier ce qu’est l’amour et de le reconnaître encore. La signification de l’amour réside dans ce que tu as chassé à l’extérieur de toi, et il n’a pas de signification à part de toi. C’est ce que tu préfères garder qui n’a pas de signification, alors que tout ce que tu voudrais tenir à l’écart contient toute la signification de l’univers, et assure la cohésion de l’univers dans sa signification. Si l’univers n’était pas joint en toi, il serait à part de Dieu ; et être sans Lui, c’est être sans signification.

 Dans l’instant saint la condition de l’amour est remplie, car les esprits sont joints sans l’interférence du corps, et là où est la communication, là est  la paix. Le Prince de la Paix et né pour rétablir la condition de l’amour en enseignant que la communication reste ininterrompue même si le corps est détruit, pourvu que tu ne vois pas le corps comme le moyen nécessaire à la communication. Et si tu comprends cette leçon, tu te rendras compte que sacrifier le corps, c’est sacrifié rien ; et la communication, qui doit être de l’esprit ne peut pas être sacrifié. Où, donc, est le sacrifice ? La douce leçon que je suis né pour enseigner, et que je voudrais encore enseigner à tous mes frères, c’est que le sacrifice n’est nulle part et que l’amour est partout. Car la communication embrasse tout ; et dans la paix qu’elle rétablit, l’amour vient de lui-même.

Ne laissent aucun désespoir assombrir la joie de Noël, car le temps du Christ est in-signifiant à part de la joie. Joignons-nous dans la célébration de la paix en n’exigeant aucun sacrifice de personne, car c’est ainsi que tu m’offres l’amour que je t’offre. Que peut-il y avoir de plus joyeux que de percevoir que nous ne sommes privés de rien ? Tel est le message du temps du Christ, que je te donne pour que tu puisses le donner et le retourner au Père, Qui me l’a donné. Car au temps du Christ, la communication est rétablie, et Il se joint à nous pour célébrer la création de Son Fils.

 Dieu rend grâce à l’hôte saint qui voudrait Le recevoir et qui Le laisse entrer et demeurer là où Il voudrait être. Et par ton accueil Il t’accueille en Lui-même, car ce qui est contenu en toi qui L’accueilles Lui est retourné. Et nous ne faisons que célébrer Son Entièreté quand nous L’accueillons en nous-mêmes. Ceux qui reçoivent le Père ne font qu’un avec Lui, étant l’hôte de Celui Qui les a créés. Et quand ils Lui permettent d’entrer, le souvenir du Père entre avec Lui, et avec Lui ils se souviennent de la seule relation qu’ils aient jamais eue, et qu’ils veuillent  jamais avoir. Voici le temps où une nouvelle année naîtra bientôt du temps du Christ. J’ai une parfaite confiance en toi pour faire tout ce que tu voudrais accomplir. Rien ne manquera, et tu rendras complet et ne détruiras pas. Dis, donc, à ton frère :
 
Je te donne au Saint Esprit comme partie de moi-même.
Je connais que tu seras délivré, à moins que je ne veuille t’utiliser pour m’emprisonner moi-même.
Au nom de ma liberté, je choisis ta délivrance, parce que je reconnais que nous serons délivrés ensemble.

Ainsi l’année commencera dans la joie et la liberté. Il y a beaucoup à faire et nous avons été longtemps retardés. Accepte l’instant saint en cette année naissante, et prends ta place, si longtemps laissée non remplie, dans le Grand Eveil. Rend cette année différente en faisant que tout soit pareil. Et laisse toutes tes relations être rendues saintes pour toi. Telle est notre volonté. Amen.
 
Morceaux choisis extraits de Un Cours En Miracles (Texte, chapitre 15, pages 349 à 352).


 

 
 
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